Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
lundi 18 juin 2007
Cas de kidanpping résolu chez les voisins...PN : Ex professeur universitaire planifia l’enlèvement du petit fils du propriétaire de l’université.
Le chef de la Police Nationale, lieutenant général Bernardo Santana Paez, a révélé hier que la psychologue qui pendant plus de 4 ans a occupé un poste de professeur à l’université ouverte pour adultes UAPA, a été celle qui a planifié l’enlèvement du petit fils du propriétaire de ce centre d’études, fait perpétré dans la ville de Santiago.
Maria Vianney Corona Suriel âgée de 33 ans a été accusée d’être celle qui a planifié l’enlèvement du mineur, âgé de 5 ans, pour exiger 8.000.000 de pesos à ses parents contre sa libération. Avec l’accusée présumée ont été détenus aussi, son oncle Francisco Corona, Ruben Torres Mariñez et Amauris Peralta Garcia.
Le Chef de la police a offert ces déclarations au cours d’une conférence de presse, ou il a annoncé que l’enfant a été récupéré sain et sauf et remis à ses parents, l’ingénieur Vladimir Hernandez, vice président du conseil directif de la UAPA et madame Jacqueline del Carmen Reyes.
Selon le rapport de la police, Corona Suriel était une personne de confiance de la famille Hernandez, c’est la raison pour laquelle elle connaissait tous les mouvements des ses membres. Il a expliqué que l’accusée a sollicité les services de Ruben y Amauris a qui elle a promis 250.000 et 50.000 pesos respectivement.
Pour exécuter le plan, un des hommes appela au domicile des Hernandez en argumentant qu’il portait un colis destiné a la UAPA, c’était déjà une habitude, pour cette raison la grand-mère du petit Olga Reyes leur ouvrit le plus naturellement possible la porte aux deux étrangers.
Après avoir reçu la boîte qu’elle avait prise pour le colis envoyé, la dame se disposa à la mettre en lieu sûr, ce moment fut mis a profit par les deux bandits pour emporter l’enfant et fuir en utilisant une voiture stationnée dehors dans laquelle attendait Maria Vianney. Celle-ci dit à l’enfant qu’elle irait à la célébration d’un anniversaire de naissance.
Les kidnappeurs ont emmené l’enfant dans une maison en construction située au numéro 100 de la rue principale du secteur los guandules, arroyo Hondo de Santiago ou ils le laissèrent sous la surveillance de Ruben. Ensuite Francisco Corona s’est chargé de réaliser les appels téléphoniques pour demander la rançon, cependant la police avait été déjà informée, cette action a permis de le localiser quand il se déplaçait au volant d’une Jeep dans la rue Président Antonio Guzman du secteur la Barranquita.
Maria fut arrêtée postérieurement à bord du véhicule utiliser pour transporter l’enfant. Puis les agents de la police se présentèrent à l’endroit ou l’enfant était tenu captif.
Auteur Angela Rosso.
Article original paru dans l’édition digitale du journal El Nuevo diario http://www.elnuevodiario.com.do/app/article.aspx?id=60808 traduit en français par Thom GATO pour Haïti Recto Verso
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