Le Président du sénat dominicain partage la préoccupation de l'Episcopat sur la violence
Manuel Azcona - 3/9/2007 12:07:00 AM SAINT-DOMINGUE. - Le président du Sénat, Reinaldo Pared Pérez, a partagé hier la préoccupation de la Conférence de l'Episcopat dominicain autour des niveaux de violence qui règnent dans la société dominicaine. Toutefois, il a regretté la participation de militaires et des policiers dans ces actions délictueuses conforme les appréciations de l'Église. "Cela est ainsi et ce n'est pas nouveau, bien qu'il faille souligner que le Gouvernement souhaite réduire les niveaux actuels de violence", a déclaré Pared Pérez. De même, il a favorisé que tant la société comme le Gouvernement unifient des efforts pour éviter que la violence continue à augmenter. Il a renvoyé que si on compare la situation dominicaine avec celle d'autres pays, la spirale de violence n'a pas pu noyé encore la nation. Il a ajouté que République dominicaine est privilégiée en comparaison avec d'autres nations, en ce qui concerne les indices de violence qui existent dans ces pays.
Pour lire l’article original en Espagnol : http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=5557
Un étudiant blesse un professeur à coups de couteau dans un établissement scolaire.
Monte Plata. - Un étudiant mineur a blessé de deux coup de poignard un professeur dans l’enceinte de l'école de base 6to-B de la communauté le Deam de cette commune. Le professeur blessé répond au nom de Yeimy Elizabeth Moreno Mora, de 29 ans, qui est actuellement internée dans le Centre Médical de Monte Plata, et son agresseur un adolescent de 16 années dont le nom n’a pas été raisons légales. Selon le rapport médical, l'éducateur a reçu le coup avec un couteau type sévillanne dans le dos qui lui a presque perforé le poumon et une autre coup de poignard au bras gauche, en plus d’un coup de pierre. Sa condition est stable, mais les médecins ont recommandé de ne pas la déplacer du centre pour éviter des complications. Moreno Mora, dans son lit de la clinique, a raconté qu'elle discutait hier un sujet traitant les s valeurs morales et quand il a terminé son enseignement, l'élève agresseur lui aurait signalé qu'elle avait laissé de côté une autre valeur. Elle lui aurait demandé d’identifier cette valeur et l’élève aurait affirmé que la drogue n’avait pas été mentionnée pendant le cours. Le professeur a spécifié qu'en le corrigeant que cela n'était pas une valeur, le jeune a insisté alors sur le fait que "en effet c’était une valeur" et il a commencé à l'attaquer verbalement et à prononcer des mots obscènes. Elle a ajouté qu'après l'incident, le directeur de l'école, Ramón Columna, a convoqué le jeune et sa mère à une réunion, et il a pensé que l’incident était clos.
Lisez l’intégralité de l’article en espagnol sur : http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=5549
Des agriculteurs du Batey Mena abandonnent leurs jardins à cause des vols
BATEY MENA Tamayo. - Des agriculteurs de plusieurs bateyes de la zone sucrière de la province de Barahona ont dû abandonner leurs propriétés cultivées, devant la vague de vols et d’agressions dont ont été victimes les habitants de la zone. Selon des travailleurs de cette localité, les délinquants pénètrent dans les parcelles cultivées et dans les propriétés pour voler des poules, chèvres et du bovin, ainsi que des vivres. De nombreux jeunes qui se consacrent aux actions délictueuses, et qui proviennent d'autres lieux, même de la capitale, ont transformé les bateyes du Sud-ouest en cachettes.
La nuit, principalement, ils soustraient des motocyclettes, ils assaillent les passants et pénètrent dans les résidences pour emporter des téléviseurs, radios, ventilateurs et autres articles de valeur.
La situation a changé la vie des bateyes, et tôt dans la nuit ils paraissent désolés, parce que les gens craignent de sortir de leurs maisons. Josesito Pérez FELIZ, du batey Isabelita, a dit que le désordre existant dans ces communautés l'est à l’origine du fait que délinquants pénètrent la nuit dans la localité tirent sur les motocyclistes pour les dépouiller de leurs la motos et de leur argent.
Pour lire l’intégralité de l’article en Espagnol : http://www.hoy.com.do/article.aspx?id=15380
Les Etats –Unis d’Amérique veulent éradiquer le trafic de drogue dans les Caraïbes.
SAINT-DOMINGUE. - Le Gouvernement des Etats-Unis prétend "déraciner " le trafic de drogues de la zone des Caraïbes, ce pourquoi il comptera sur la participation République dominicaine et de Haïti, a révélé hier le représentant du Bureau d'Administration de Drogues des Etats-Unis (DEA) Karen P Tandy, après s’être réunie pour plus d’une heure avec le président Leonel Fernández au Palais National. Il a déclaré qu'il existe la nécessité de déraciner ces entreprises du trafic de drogues qu'empoisonnent les enfants, "ils corrompent nos gouvernements et détruisent le futur de nos pays". Il a indiqué être venue "à l'île Hispaniola", Haïti et la République dominicaine, comme alliée qui travaille avec deux pays qui s’engagent à "éradiquer le trafic de drogues", en disant que les Etats-Unis est aussi plongé dans cette lutte. "Nous partageons nos ressources humaines formées à cet effet, nous travaillons de manière conjointe dans cette mission commune", Tandy a expliqué en sortant du bureau présidentiel en compagnie de l'ambassadeur des Etats-Unis, Hans H Hertell. Elle a déclaré qu'il a eu le privilège de se réunir avec Fernández Reyna, dont elle dit pratiquer un leadership extraordinaire, non seulement pour République dominicaine mais pour toute la région et tout le secteur occidental. Il a dit que la DEA aura une participation au prochain sommet de présidents autour du sujet du trafic de drogues qui débute le 15 mars et qui comptera avec la présence les présidents Álvaro Uribe, de la Colombie, et de René Preval, de Haïti, outre d'importants chefs régionaux.
Pour lire en intégralité l’article en Espagnol : http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=5559
Le Président Leonel Fernandez dispose d’une révision des fichiers de la police
SAINT-DOMINGUE. - Le président Leonel Fernández a disposé hier soir la révision et l'adéquation des fichiers policiers dans toutes les institutions qui manient des informations du service d’intelligence ou les antécédents pénaux, pour que ces dernières soient faites conformément aux dispositions du règlement qui a été aussi créé hier soir par le Pouvoir Exécutif.
Il établit que les certifications non délinquance et de non antécédents pénaux, pourront seulement être délivrés par le Ministère Public, à partir de la date d'expédition de ce décret 122-07. aucune autre institution ne pourra délivrée des documents de ce type.
De cette disposition sont exclus les certificats vie et ou de mœurs , dont l'expédition correspond au Secrétariat Intérieur et Policier, en vertu de la Loi 5188 de du 13 août de du 59. Le chef d'État a élaboré le règlement dont l'objectif est d'établir les normes et les procédures pour envoyer les certificats d'antécédents délictueux et de bonnes moeurs et régler l'accès à l'information sur les personnes qui possèdent un casier judiciaire, en faisant respecter l'article 8 de la Constitution, les réglementations contenues dans les traités internationaux et dans les lois.
Pour lire l’intégralité de l’article en Espagnol : http://www.listin.com.do/app/article.aspx?id=5558
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
vendredi 9 mars 2007
L'ESSENTIEL DE L'ACTUALITE CHEZ LES VOISINS
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire