"A la faveur du black-out qui sévit sur la capitale d'Haïti, des bandits en profitent pour harceler et violer femmes et jeunes filles réfugiées sous les tentes" M. Andrésol
Des organisations de femmes à Port-au-Prince ont déjà dénombré des cas et alerté des instances de l'ONU en Haïti, à l'heure actuelle il n'y a pas de chiffres dénombrant le nombre de victimes.
7,000 c'est le nombre de bandits, voleurs, violeurs, chefs de gangs qui sont dans les rues, qui sèment la terreur, Mario Andrésol déclare:
"Nous avons plus de 7.000 bandits dans les rues qui se sont échappés de la prison centrale le soir du séisme. Nous avions mis cinq ans pour les appréhender, ils sont dans la nature aujourd'hui et vont constituer une source de problèmes"
Avant le séisme les forces de police haïtienne comptaient environ 8,000 personnes, le séisme a causé de lourdes pertes dans les rangs de
"Nous avons perdu 70 policiers et près de 500 sont toujours disparus alors que 400 ont été blessés"
Avec un effectif réduit
M. Andrésol souhaite maintenant une meilleure coopération avec les forces étrangères déployées en Haïti afin de réduire la pression sur la police haïtienne.
RM http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=16755
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