Après six jours du tremblement de terre, le regard doit commencer à se diriger vers les « pseudo réfugiés dégagés des décombres qui risquent de mourir de faim, de soif, d’épuisement ou des complications de leurs blessures. Il faut agir vite peut être le pire reste à venir et est encore évitable. Il faut DONNER pour Haïti. Beaucoup d’organisations humanitaires ont fait leurs preuves en Haïti. Elles y étaient déjà et elles assuraient la survie de beaucoup de gens avant même cette catastrophe. Elles y sont encore, comme les premières à intervenir avec leur logistique, leurs relais, leurs réseaux et leur expertise.
Elles seront encore là, sur le terrain face aux "mêmes" problèmes après la grosse vague médiatique qui laisse souvent derrière elle une vraie calamité à gérer au quotidien.
Certaines petites associations intervenaient aussi sur le terrain dans des recoins non médiatisés. Ils sont capables de gérer l’aide aussi dans leur localité.
Il FAUT DONNER !
Soyez libres de décider à qui confier vos dons financiers pour agir dans l’extrême urgence.
Docteur Jonas JOLIVERT
Marseille
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
samedi 16 janvier 2010
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