La diffusion du contenu d’un programme de televisión embarasse des dominicains
Santiago, a avril 2007.
Les résidents des 14 provinces de la région du cibao, ont reçu très mal la diffusion d’une émission de télévision à travers laquelle la République Dominicaine est vendue comme le pays de la dépravation sexuelle. L’émission de télé WILD ON, de E entertainment Television Latinoamerica, a présenté dimanche dernier une émission spéciale réalisée en République Dominicaine ou le pays était vendu comme un paradis propice à la dépravation sexuelle et de la conduite.
L’émission débuta par une présentation de la Zone Coloniale de la Capitale, Santo Domingo, conduite par l’ex reine de beauté et communicatrice Idelsa Nuñez, qui démontra connaître très peu d’histoire mais beaucoup sur les discothèques et de centres de diversion nocturnes.
Les erreurs affichées lors de la présentation du programme ne furent pas seulement de type historique sinon, San Pedro de Macoris a été présenté comme la deuxième ville d’importance du pays.
Sur ce sujet, les résidents de Santiago ont remarqué que Leur ville Santiago la deuxième du pays considerée comme la capitale industrielle n’a même pas été mentionnée ni en bien ni en mal.
La communauté de Cabarete, de la province de Puerto Plata, dans le nord du pays, a été présentée comme le temple du sexa sauvage, du libertinage, du sexe libre et du « sanguinpankismo ».
L’émission a présenté des images de femmes entrain de s’embrasser entre elles, les seins à l’airen montrant son consentement pour un agissement qui dans le domaine du dépravé n’aurait pas de limites.
Tandis que le gouvernement s’implique à mettre une alarme à ceux qui boivent de l’acool, Wild On, montre les milles faces de la République Dominicaine avec les mêmes raits de vagabonds, de dépravés et de dégénérés.
Sur la vidéo, depuis Punta Cana on a observé deux jeunes hommes s’approprier chacun d’un sein d’une même citoyenne, présentée sans scrupules par l’émission internationale. La présentation du carnaval des villes La Vega lotie dans la partie centrale de lé région du Cibao, faisait partie de l’émission sponsorisée par la bière marque PRESIDENTE.
Norelis Rodríguez, ex reine de beauté vénézuélienne, conduisit une partie du programme qui montra les « pôles touristiques dominicains” lesquels sans aucun doute représentaient une vraie tentation pour le grand marché international.
Malgré le fait que cette émission place la République Dominicaine dans la valise des pays considérés comme destinations sexuels, du désordre et de la dépravation, il a reçu le soutien de ceux-là qui ne sont guère capables de voir le futur au-delà des frontières de Quisqeya.
Article original paru dans l’édition digital du journal Nuevo Diario traduit en français par Thom GATO pour Haïti Recto Verso.
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
vendredi 6 avril 2007
Promotion de la Republique Dominicaine comme paradis du tourisme sexuel, du désordre et de la dépravation... Des Dominicains embarassés...
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