08.09.2011 Le président uruguayen José Mujica, par lettre transmise au président [haïtien] Michel Martelly - dont le Nouvelliste a obtenu copie - a présenté ses excuses au peuple haïtien le 6 septembre. Alors que la mission de l'Onu en Haïti (MINUSTAH) et les services du Secrétaire général des Nations-unies jouent la prudence, c'est la première victoire que la présidence et le peuple haïtien obtiennent dans le dossier du viol présumé d'un adolescent par des soldats uruguayens à Port-Salut", écrit le Nouvelliste.
"Le scandale a éclaté la semaine dernière, quand un casque bleu uruguayen a prêté son téléphone cellulaire à de jeunes Haïtiens, qui y ont découvert une vidéo montrant le jeune homme de 18 ans apparemment agressé dans une base de l'ONU", rappelle le quotidien haïtien. Le chef du bataillon uruguayen de la Minustah a été démis de ses fonctions, les militaires incriminés rapatriés en Uruguay et l'enquête est en cours..
http://www.courrierinternational.com/breve/2011/09/08/des-excuses-officielles-pour-un-viol
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
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