Durant trois jours, Catherine Bragg souhaite pouvoir évaluer l’efficacité de la réponse onusienne aux problèmes humanitaires nés de la tragédie du 12 janvier Mardi 19 octobre 2010, Radio Kiskeya
La sous-secrétaire générale de l’ONU aux affaires humanitaires et coordonnatrice adjointe des secours d’urgence au Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA), Catherine Bragg, se trouve à Port-au-Prince depuis lundi dans le cadre d’une visite d’évaluation de la situation en Haïti, neuf mois après le séisme dévastateur du 12 janvier.
Un communiqué de l’OCHA indique que dès son arrivée elle s’est rendue auprès des sinistrés installés dans des camps d’hébergement.
Mme Bragg qui, pendant son séjour de trois jours, doit établir un bilan de la réponse humanitaire depuis la catastrophe, a effectué mardi un déplacement à Léogâne (35 km au sud de la capitale) où elle s’est entretenue avec les autorités locales avant de visiter un camp pour personnes déplacées.
A Port-au-Prince, dans les camps de Maïs-Gaté et Tabarre Issa, où vivent respectivement 1.500 et 526 familles, elle a pu rencontrer des survivants du séisme, les acteurs humanitaires internationaux, les membres de la police des Nations Unies (UNPOL) ainsi que des organisations communautaires.
Catherine Bragg a d’autre part rencontré les membres du comité de femmes des sites visités avec lesquelles elle a abordé plus particulièrement la question de la violence sexiste. "Nous prenons cette question très au sérieux et voulons faire en sorte que les auteurs seront tenus pour responsables. Nous continuerons à fournir une aide à ces victimes tandis que les Casques bleus intensifient à l’heure actuelle leur présence pour décourager de tels actes", a-t-elle déclaré. spp/Radio Kiskeya
http://radiokiskeya.com/spip.php?article7141
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
mercredi 20 octobre 2010
Visite en Haïti de la sous-secrétaire générale de l’ONU aux affaires humanitaires
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