L’ancien directeur général du Conseil Electoral Provisoire, Jacques Bernard, pose des conditions pour regagner son poste dans la perspective des sénatoriales de décembre 2007. Lors d’une rencontre avec les membres de la commission collectivités territoriales du sénat, M. Bernard a donné l’assurance que le scrutin pourra être réalisé au cours des trois prochains mois. M. Bernard qui confirme être rentré au pays depuis quelques mois, pose des conditions pour reprendre les commandes de la machine électorale. S’il refuse de rendre publiques les conditions posées, M. Bernard se prononce en faveur d’un renforcement du Conseil. Il soutient qu’au cours des trois prochains mois les élections indirectes pourront être organisées en vue de la formation du conseil Electoral Permanent. Toutefois M. Bernard croit que les membres de l’actuel CEP sont les mieux placés pour organiser le prochain scrutin. " Si des personnes sans expérience arrivent maintenant aux commandes de la machine électorale, ceci pourrait nous faire perdre beaucoup de temps", ajoute t-il. Jacques Bernard se déclare disposé à faire de nouveaux sacrifices alors que l’organisation des sénatoriales semblent dans l’impasse. Pour sa part, le sénateur Anacacis Jean Hector, se déclare soulagé par les remarques positives de M. Bernard. " Je craignais que le sénat ne soit amputé de 11 sénateurs au début de l’année prochaine mais maintenant je suis rassuré", explique t-il. Tout en étant moins inquiet pour l’organisation des sénatoriales, le sénateur Jean Hector dit être dans l’attente des résultats de l’audit de la Cour Supérieure des Comptes sur la gestion des conseillers électoraux. Le sénateur de l’ouest salue le travail de M. Bernard et réclame des modifications dans la composition du CEP.
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.phtml?id=13036
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
dimanche 16 septembre 2007
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