Devant le cycle meurtrier du choléra, l’engagement de mettre en place une politique préventive a été pris par Dilma Rousseff et le vice-président cubain, José Ramòn Machado Ventura, en marge de l’intronisation de la toute nouvelle Présidente brésilienne, camarade et successeure du très populaire Lula lundi 3 janvier 2011, Radio Kiskeya
La nouvelle Présidente brésilienne Dilma Rousseff et le vice-président cubain, José Ramón Machado Ventura, ont convenu d’intensifier la coopération entre les deux pays en vue d’éviter l’apparition de nouvelles épidémies en Haïti où le choléra a déjà fait plus de 3.000 morts en trois mois.
Selon les déclarations du nouveau chancelier brésilien, Antonio Patriota, relayées par EFE, les deux responsables ont consacré à Haïti une "bonne partie de leur conversation" qui s’est déroulée en marge de l’intronisation samedi de la successeure de Luiz Inàcio Lula da Silva.
Dans leur plan de prévention épidémiologique au profit de la population haïtienne, Brasilia et La Havane devraient pouvoir compter sur le soutien de l’Organisation panaméricaine de la santé (OPS) et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Par ailleurs, le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, a remercié lundi Dilma Rousseff pour "l’engagement continue" de son pays au sein de la Mission de stabilisation de l’ONU (MINUSTAH) dont il détient le commandement militaire depuis 2004.
Ban félicitait, lors d’une conversation téléphonique, la dirigeante brésilienne pour son investiture comme la première Présidente de l’histoire du géant sud-américain.
Le Premier ministre Jean-Max Bellerive représentait Haïti à cette cérémonie très émouvante à laquelle ont assisté des leaders et délégations du monde entier parmi eux, plusieurs Présidents sud-américains, la Secrétaire d’Etat américaine, Hillary Clinton et le Président de l’Autorité palestienne, Mahmoud Abbas. spp/Radio Kiskeya
http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article7381
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
mardi 4 janvier 2011
Le Brésil et Cuba veulent éviter d’autres épidémies à Haïti
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