Le chancelier brésilien, Celso Amorim, parmi les participants à cette rencontre ministérielle sur l’avancement du processus de reconstruction d’Haïti Vendredi 17 septembre 2010, Radio Kiskeya
Le chef de la diplomatie brésilienne, Celso Amorim, qui doit ouvrir le 23 septembre à New York l’assemblée générale de l’ONU, participera auparavant lundi à une réunion extraordinaire de la Commission intérimaire mixte pour la reconstruction d’Haïti, a annoncé vendredi le gouvernement brésilien relayé par EFE.
Organisée au niveau ministériel sur différents aspects du processus de reconstruction post-séisme, cette séance de travail a été convoquée par le Premier ministre haïtien, Jean-Max Bellerive, et l’ancien Président américain, Bill Clinton, co-présidents de la CIRH.
Malgré l’annonce le mois dernier de l’approbation d’une série de projets, lors d’une réunion tenue à Port-au-Prince, la très controversée commission pour la reconstruction peine toujours à donner une impulsion significative à la mission qui lui a été confiée dans un pays frappé au cœur par le séisme dévastateur du 12 janvier.
Concernant Celso Amorim, il prononcera le discours d’ouverture de l’assemblée générale de l’ONU, en remplacement du Président Luiz Inácio Lula da Silva retenu par des affaires internes. spp/Radio Kiskeya
http://radiokiskeya.com/spip.php?article7061
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
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