Le premier ministre démissionnaire, Jean Max Bellerive, dit partager le sentiment que la Commission intérimaire pour la reconstruction d'Haïti (CIRH) peut et doit faire mieux. Le co-président de la CIRH continue cependant à croire en son utilité pour combler des déficiences du système de coordination de l'aide internationale en Haïti.
Comme mentionné par le bureau du Président de la République mercredi soir et lors des récents entretiens entre les deux coprésidents de la Commission, le Président Martelly a clairement confirmé son intention de continuer à améliorer le fonctionnement de cette structure institutionnelle, afin de la rendre encore plus performante au niveau des déboursements des fonds, plus alignée avec les priorités du gouvernement et d'arriver à une plus grande gestion des projets de reconstruction de la part des autorités haïtiennes.
Il reviendra au prochain gouvernement de trouver un accord avec le Parlement sur l'avenir de cette commission, lorsque son mandat actuel prendra fin en octobre 2011.
Jean Max Bellerive a fait ses déclarations en réaction aux rapports de certains medias concernant les travaux de la commission qu'il copréside avec l'ancien président américain Bill Clinton.
EJ/Radio Métropole Haïti
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=19168
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
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