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vendredi 25 septembre 2009

ONU : René Préval entre angoisse et interrogations face au "cycle des désastres naturels"

Jeudi 24 septembre 2009, Radio Kiskeya

Le Président René Préval s'est montré jeudi à New York préoccupé par l'impact grandissant des catastrophes naturelles sur l'économie et le développement des pays pauvres tout en se félicitant des progrès réalisés en Haïti au cours des derniers mois.

Dans un discours prononcé lors du débat général de la 64e assemblée générale des Nations Unies, le chef de l'Etat, très remonté contre l'égoïsme des grandes puissances, a fait remarquer qu'outre les crises alimentaire, énergétique et financière auxquelles fait face la population mondiale, beaucoup de pays doivent maintenant affronter des désastres naturels à répétition. Sans les ressources suffisantes, ils seront bientôt contraints de se préparer à affronter de nouvelles catastrophes avant même la fin du processus de reconstruction et le rétablissement des communautés, a fait savoir René Préval pour qui, les cyclones et inondations condamnent des Etats déjà faibles à un perpétuel recommencement.

"Apparemment, c'est le nouveau cycle de vie auquel des pays vulnérables comme le nôtre doivent se préparer malgré leurs moyens insuffisants", s'est-il désolé devant les différentes délégations réunies à l'ONU.

spp/Radio Kiskeya

http://www.radiokiskeya.com/spip.php?article6207



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1 commentaire:

pierre a dit…

Desolé!!! Oui ils y a des raisons de l'ètre..Quand on constate la non volonté des grandes puissances a partager les ressources disponibles. Pourquoi ne pas les partager? Car les dirigeants de ces grandes puissances ont consciencent que les ressources actuelles vont bientot manquer a l'échelle mondiales d'ou l'utilitée de repousser cette echances afin de ralentir le declin inevitable en stockant les ressources et ainsi limiter les phenomènes de destabilisations des populations trop soudain pouvant generer des tensions couteuses et finalement ingérables.... Stocker veut dire oublier ceux qui subissent les changements climatiques en parties causés par ceux qui justement les oublient.... etc, etc... Pierre.G.