Les cinq marines uruguayens qui faisaient partie de la misión de l’ONU pour la stabilisation d’Haïti (MINUSTAH) et qui ont été accusés der viol sur un Jeune haïtien, ont passé leur premier jour en prison à Montevideo, après avoir été jugé par la Justice Militaire. Les délits retenus contre eux ont été identifiés comme “faute grave et désobéissance”. L’affaire sera prise en charge par la Justice Civile après que le gouvernement eût présenté une plainte au pénal contre les impliqués dans l’affaire qui a eu une forte repercusión médiatique et qui a suscité une forte indignation en Haïti et qui a occasionné l’idée d’un retrait progressif des forces militaires de la Minustah déployés sur le sol de ce pays des Caraïbes.
Les faits sont aussi investigués par les organismos des Nations Unies (ONU) qui s’occupent directement de la misión de paix en Haïti. A travers un film diffusé ce mois, les marines uruguayens semblent être entrain dd’abuser sexuellement du Jeune haïtien.
Le gouvernement uruguayen a présenté des excuses à Haïti et à l’ONU; http://www.eltribuno.info/salta/75524-Avanza-la-causa-contra-los-marinos-.note.aspx
Traduction: HAITI RECTO VERSO
Une fenêtre ouverte sur Haïti, le pays qui défie le monde et ses valeurs, anti-nation qui fait de la résistance et pousse les limites de la résilience. Nous incitons au débat conceptualisant Haïti dans une conjoncture mondiale difficile. Haïti, le défi, existe encore malgré tout : choléra, leaders incapables et malhonnêtes, territoires perdus gangstérisés . Pour bien agir il faut mieux comprendre: "Que tout ce qui s'écrit poursuive son chemin, va , va là ou le vent te pousse (Dr Jolivert)
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