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jeudi 2 juillet 2009

La Première Ministre fait son mea culpa dans le dossier de la Téléco
La rencontre entre les sénateurs, membres des commissions Travaux Publics et justice, et la Première Ministre a permis de confirmer les irrégularités dans le processus de modernisation de la Téléco. " Michèle Pierre Louis a concédé avoir été induit en erreur ", rapporte le président de la commission des travaux Publics du sénat, Anacacis Jean Hector. Saluant le courage de Michèle Pierre Louis, le sénateur Jean Hector a informé que le processus de modernisation de la Téléco sera repris en tenant compte cette fois ci de l'avis du Conseil de Modernisation des Entreprises Publiques (CMEP). Les élus se sont montrés préoccupés par la possibilité pour que l'Etat ne perde pas la majorité au sein de l'actionnariat de la Téléco.Le gouvernement s'est donc engagé à reprendre le processus en excluant la Société Financière Internationale (SFI) qui avait réalisé l'étude du dossier de la Téléco.Les sénateurs Youri Latortue et Anacacis Jean Hector estiment qu'il faut remettre de l'ordre à la Téléco pour la rendre rentable. Anacacis Jean Hector est catégorique ; " il n'y a pas de liquidation de la Téléco". Les sénateurs, désormais impliqués dans le dossier, annoncent qu'ils resteront en contact avec les responsables du CMEP afin d'analyser les différentes options ; capitalisation, contrat de gestion ou privatisation. LLM
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=15438
HRV commente:
Un premier ministre ne peut pas être tout le temps entrain de faire le mea culpa. Une équipe de gouvernement doit se tromper très peu. Pas aussi souvent que le gouvernement de notre Premier Ministres. Le travail se fait en équipe et on s’entoure de gens capables.
Quand on est souvent induit en erreur c’est que l’on est peu capable.
On se rappelle encore l’histoire des taxes sur les appels téléphoniques conçus pour renflouer les caisses de l’état. Une somme qui avait été incorporée au budget de la nation. Apres des dénonciations venant de plusieurs secteurs, le gouvernement avait du surseoir cette décision qui n’avait pas été analysée de la façon la plus correcte possible.
Dire que le pouvoir exécutif a créé des commissions pour étudier la compétitivité….Pourquoi ne pas les consulter pour éviter des induit en erreur ?

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